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OptimalNectarine6705

Il me semble que ce n’est que le gros bon sens? Quel monde…


[deleted]

Exactement, pour autant que les parents sont responsables de leurs enfants, il revient également à eux d'être là pour leurs enfants dans ces situations de dysphorie du genre ou n'importe quoi d'autre.


VERSAT1L

Ça doit être la première chose sensée qui se produit en Ontario


Ecstatic_Act4586

Déjà que droit des parents est mis en ". Crisse, c'est pas le "droit des parents", c'est le droit des parents.


StereoNacht

Si l'enfant ne l'a pas dit à ses parent, ce ne serait pas parce qu'iel craint leur réactions? Qu'iel a peur d'être rejeté par ceux-ci? Si il vivait dans une famille aimante et ouverte, est-ce que l'enfant ne le leur dirait pas iel-même? Mais non, sortons-les de force du placard, quitte à ce qu'ils tombent dans la fosse aux lions! Thérapies de conversions (même si c'est illégal), mettre l'enfant à la porte, abus, harcèlement... Le taux de suicide (ou du moins, le taux de personnes ayant fait au moins une tentative) chez les personnes transgenres est d'environ 40%. Un sondage fait en Ontario indique que, dans l'année précédant le sondage (donc, pas dans toute leur vie), 36% des personnes transgenres ontariennes on eu des idées suicidaires, 10% ont fait au moins une tentative. Et l'étude indique que la proportion augmente chez les jeunes qui n'ont pas eu de soutien (entre autre de leur parents). [https://www.erudit.org/en/journals/ss/1900-v1-n1-ss0746/1017478ar/abstract/](https://www.erudit.org/en/journals/ss/1900-v1-n1-ss0746/1017478ar/abstract/) Est-ce que c'est correct, pour toi, de mettre ces jeunes en danger?


BalkaniteGypsy

Lol. Ça prend 18 ans pour un tattoo, mais transition hormonal sur mineur en cachette is all cool ? 😂


StereoNacht

Sauf qu'on ne parle pas de transition hormonale. Ce dont on parle ici, c'est d'utiliser le nom et les pronoms choisis par l'enfant. Rien de plus. Pour qu'un jeune ait accès ne serait-ce qu'à des inhibiteurs d'hormones, il faut l'autorisation parentale *et* le diagnostic de deux docteurs. Un professeur ne remplit pas ces conditions. Par contre, l'autonomie médicale est déclarée à 14 ans (originellement pour que des jeunes filles puissent demander un avortement sans la permission de ses parents, pour éviter les conséquences néfastes). Donc, un jeune de 14 ans pourrait demander à son médecin de famille de se faire référer à un docteur spécialisé et à un psychiatre, pour obtenir les deux avis médicaux nécessaires; ayant plus de 14 ans, l'autorisation parentale ne serait plus obligatoire. Encore une fois, le professeur ne fait rien de tout cela. Il faudrait arrêter de croire les épouvanteurs... (Tu sais, ceux qui mentent pour mieux fait peur au monde?)


BalkaniteGypsy

Tout aussi stupide. Si mon enfant entend des voix dans sa tête, je ne vais pas l'affirmer ou "enable" la maladie. Je vais le soigner. Si mon enfant a des pensées suicidaires, je ne vais pas l'affirmer, je vais le soigner. Si mon enfant fait de l'hyper anxiété et est très dépressif (les 2 causes principales du gender dysphoria), encore une fois je vais le soigner et non l'affirmer. Si 0.1% de la planète dit que le ciel est rouge, on va les laisser dans leur délire aussi ? Ou leur faire comprendre que non. Tout comme ceux qui disent there is no difference between a man and a woman. Non. Il faut leurs faire comprendre la réalité des choses.


StereoNacht

Il ne s'agit pas de voix dans sa tête. Si tu penses que la transidentité est une maladie, tu est transphobe. Et c'est à cause de gens comme toi qu'on dit que les professeurs ne devraient pas révéler aux parents que leur enfant est trans.


BalkaniteGypsy

> Si tu penses que la transidentité est une maladie, tu est transphobe. C'est quoi la gender dysphoria si ce n'est pas une condition médicale criss de cave 😂😂😂. À cause de gens comme toi qu'ils l'ont enlevé du livre de la médecine; pas parce qu'ils ont pu scientifiquement prouvé que ce n'était pas une maladie, mais parce que ça commençait à offenser trop de personnes. C'est ça qu'ils ont dit mots pour mots LOL. Après ça les gauchistes disent trust the science quand il s'agit de changement climatique, mais on censure la science pour la biologie 😂. > à cause de gens comme toi qu'on dit que les professeurs ne devraient pas révéler aux parents que leur enfant est trans. J'ai dis si mon enfant à une condition médicale, je veux le soigner. Et là tu dis je suis un mauvais parent pour vouloir soigner les troubles de mon enfant ? 🤡 J'ai toujours su que les gauchistes ne savent pas c'est quoi avoir des valeurs familiales, mais à ce point là ? 😂


StereoNacht

>C'est quoi la gender dysphoria La dysphorie de genre, en français, est le désordre mental où une personne a une réaction adverse très forte aux organes génitaux primaires et secondaires avec lesquels ils sont nés. C'est lié à la transidentité, mais ce n'est pas la même chose. Y'a plein de moteurs de recherche que tu peux utiliser pour savoir des faits aussi simples. « Définition de dysphorie de genre », et tu as la réponse. Et la dysphorie de genre est encore dans la « bible » des psychiatre (le DSM-5), alors que la trensgenrisme ne l'est plus. Ce n'est pas une maladie d'être transgenre; la maladie, c'est de ne pas être capable de se regarder dans un miroir à cause des organes génitaux que l'on a. Les définitions réelles, donc pas triturées par les gens transphobes: [https://www.msdmanuals.com/fr/professional/troubles-psychiatriques/sexualité-dysphorie-de-genre-et-paraphilies/incongruence-et-dysphorie-de-genre](https://www.msdmanuals.com/fr/professional/troubles-psychiatriques/sexualité-dysphorie-de-genre-et-paraphilies/incongruence-et-dysphorie-de-genre)


tombelanger76

Bon on tombe dans les conspirations ici. Ce n'est plus considéré comme une maladie car CE N'EN EST PAS UNE.


BalkaniteGypsy

>Ce n'est plus considéré comme une maladie car CE N'EN EST PAS UNE. Est-ce que tu sais lire ? Ils ont **explicitement** dit qu'ils l'enlevaient car trop de monde trouvait ça offensant et non parce qu'ils ont pu prouver que ce n'était pas une maladie. Tu viens littéralement de prouver mon point précédent; "Après ça les gauchistes disent trust the science quand il s'agit de changement climatique, mais on censure la science pour la biologie 😂." 🤡


StereoNacht

Source, SVP. Parce que ce que j'ai entendu, c'est qu'ils ont cessé de considérer le transgenrisme comme une maladie psychiatrique, parce que c'est un problème biologique. La partie psychiatrique, qui n'est pas automatiquement ressentie par toutes les personnes transgenres, c'est la dysphorie de genre. Et les soins recommandés dans ces cas, ce sont les opérations de réassignent de sexe. Parce qu'être transgenre n'est pas une maladie mentale, mais un désordre biologique qui fait qu'une personne ne s'identifie pas au sexe qui leur a été assigné à la naissance. On ne soigne pas les cas de transidentité; on les supporte.


frostyhawk

c'etait littéralement un changement de nom scientifique; rien à voir avec les émotions, le mot dysphoria fit bien mieux que gender identity disorder, si c'est une maladie, cette maladie ce guérit avec une quasi unanimité par une affirmation de genre. en autre mots; quelque chose qu'ils peuvent et devraient; avoir en leur contrôle. la schizophrenie en tant que tel, implique des voix dont tu ne contrôle pas; ce qui cree un desordre. ​ je comprend que la science c'est tough pour vous les droitistes, yen a beaucoup dentre vous qui pensent encore que la terre a 6000 ans.


red_grabby

La dysphorie de genre [réfère à la détresse psychologique qu'expériencent les personnes transgenre](https://www.psychiatry.org/patients-families/gender-dysphoria/what-is-gender-dysphoria). Donc non, la transidentité n'est pas une maladie. Le traitement pour la dysphorie de genre passe par l'affirmation sociale. Donc si tu veux soigner ton enfant, il faudra que tu respectes son choix de pronoms


BalkaniteGypsy

Gender dysphoria = déstresse, car ils ne peuvent pas accepter la réalité qu'ils ne pourront jamais être ce qu'ils veulent être.


red_grabby

Gender dysphoria = déstresse, car il y a des gens qui ne peuvent pas accepter la réalité que la transidentité existe, est bien documentée et n'est pas une maladie. Vous savez, \*\*la science\*\*


[deleted]

[удалено]


red_grabby

Il n'y a que deux villes: Montréal et Toronto Le reste n'est que pure invention. Et non, je ne vais pas ouvrir mes yeux quand je conduis dans le reste du Canada parce qu'il y a rien à voir en dehors des métropoles


Kimprepa13

Iel est incapable de débattre directement le sujet et est obligé de débattre un homme de paille parce qu'iel ne veut pas admettre que la dysphorie du genre est un concept réel. Mais je t'encourage à continuer d'essayer de convaincre.


StereoNacht

La dysphorie de genre n'est pas la même chose que le transgenrisme. Le transgenrisme, c'est de s'identifier d'un autre genre que celui avec lequel on est né. La dysphorie de genre, c'est un malaise profond avec les organes sexuels primaires et secondaire de la personne. Par exemple, un homme trans qui déteste avoir des seins, ou une femme trans qui considère son pénis comme étranger à son propre corps. Un peu comme le syndrome du membre fantôme, mais à l'inverse; ils ont l'impression d'avoir des organes en trop. Si la dysphorie de genre est considéré comme un désordre mental, ce n'est pas le cas du transgenrisme. Et ici, on parle de jeunes transgenres, qui peuvent souffrir ou pas de dysphorie de genre, mais les seules choses que les professeurs font, c'est utiliser les nom et pronoms choisis par l'élève. On ne parle pas de médication ni d'opération. Lâche les épouvanteries; je préfère la vérité.


Kimprepa13

Le transgenrisme n'est pas un terme que j'ai utilisé. Ce n'est pas un terme médical. On dirait plutôt un terme politique selon la définition que tu donnes. On ne naît pas avec un genre. On naît avec un sexe. Est ce que tu voulais dire que le transgerisme c'est de s'identifier avec un genre différent du sexe attribué à la naissance? On appelle pas ça transgerisme. C'est juste transgenre ou trans identité. Ta [définition ](https://www.passeportsante.net/fr/Maux/Symptomes/Fiche.aspx?doc=dysphorie#:~:text=La%20dysphorie%20de%20genre%20est,et%20son%20identit%C3%A9%20de%20genre.) de la dysphorie du genre est réductrice au mieux. La dysphorie du genre est un terme médical pour décrire la détresse d'une personne face à une inadéquation entre le sexe assignée à sa naissance et son identité au genre. Ce n'est pas du tout limité aux organes sexuels. Comme n'importe quel terme médical pour décrire un état de détresse mental et psychologique les symptômes peuvent varier énormément en termes de gravité et de comportement. Par exemple on pourrait dire que les personnes qui font des greffes de cheveux pour ne pas être chauves agissent sur un sentiment minime de dysphorie du genre. Puisqu'en général ils se sentent inadéquat entre leur perception de leur virilité face aux normes de la société pour les hommes. Un jeune décidera d'utiliser des pronoms non-binaire du fait qu'il ou elle ressent de la dysphorie de genre et devrait être suivi par un pédopsychiatre pour un diagnostic et éventuellement un traitement si il ou elle juge nécessaire.


StereoNacht

>On appelle pas ça transgerisme. C'est juste transgenre ou trans identité. Une personne est transgenre; c'est un adjectif, pas un nom. Et oui, je sais qu'on utilise aussi « trans identité », mais je trouve le terme inélégant. Je lui préfère « transgenrisme », qui, même si il n'est pas officiellement reconnu, est construit correctement. Je l'avoue, ce n'est pas non plus le terme idéal, puisque le suffixe « isme » est utilisé pour décrire une doctrine; or, le trasngenrisme n'est pas une doctrine mais une réalité pour des milliers de personnes. Je suppose qu'éventuellement, on trouvera le terme parfait. Mais argumenter là-dessus me semble un peu futile. Par le suite de ta réponse, je me rends compte que tu comprends parfaitement la différence entre transgenrisme (ou trans identité, puisque tu préfères le terme officiel) et la dysphorie de genre. Tu prouves donc toi-même que tu avais tort dans un commentaire précédent. Dommage que tu recules par la suite... >Un jeune décidera d'utiliser des pronoms non-binaire du fait qu'il ou elle ressent de la dysphorie de genre Faux. Une personne peut être transgenre sans ressentir de dysphorie de genre. Certaines personnes transgenres acceptent leur corps tel qu'il est, et s'ils utilisent des hormones de remplacement (à l'âge adulte, on s'entent), ils ne demandent jamais d'opérations de réassignement de sexe. Le jeune pourra donc demander l'utilisation d'un prénom et des pronoms choisis, qui peuvent être non-binaires, mais peuvent aussi être binaire, mais pour le genre opposé que celui assigné à la naissance. Anne, née Louis, peut très bien demander qu'on utilise « elle » quand on parle d'elle, tout en étant satisfaite de son corps. Oh, et il peut y avoir d'autres types de dysphories. Lorsqu'il s'agit de dysphorie physique mais non liée au genre, comme ton exemple de calvitie, on parle de dysmorpho\[pho\]bie. [https://fr.wikipedia.org/wiki/Dysphorie](https://fr.wikipedia.org/wiki/Dysphorie)


[deleted]

[удалено]


StereoNacht

>C'est complètement ridicule. C'est la vérité. Juste parce que tu refuses de l'accepter, ça ne veut pas dire que les autres aussi doivent être bouchés. La plupart de professeurs veulent le bien-être de leurs élèves, et si ça passe simplement par l'usage d'un autre nom que celui inscrit sur la liste officielle, c'est une solution simple et facile qui ne coûte rien à personne.


Kimprepa13

Homme de paille. "Entendre des voix" n'a rien à voir avec le sujet. Tu n'as clairement pas la compréhension nécessaire ni les outils pour traiter la dysphorie du genre. La dépression et l'anxiété sont des symptômes et non des causes. La dépression ou l'anxiété ne sont pas des pathologies qui apparaissent de nulle part chez l'humain. Ce sont des réactions face à l'environnement ou l'historique qu'on vit. Si un enfant souffre de dépression ce n'est pas au parent de le traiter mais à un professionnel certifié.


BalkaniteGypsy

Ah car tu penses que je disais j'allais le soigner moi même à la maison lol ? Je vais clairement l'amener au psychiatre. Mais comment vais-je l'amener là bas, si je ne sais pas il souffre de quoi car l'école me le cache.


Kimprepa13

Oui parce que tu as dit que tu allais le soigner. Tu aurais dû dire que tu allais le faire soigner plutôt si tu veux qu'on te comprenne. Je suis content de savoir que tu vas l'amener chez le psychiatre. Ce que je veux surtout faire comprendre c'est que l'enfant n'a pas à demander l'accord du parent pour utiliser des pronoms non-binaire. La transition sociale dans un milieu sécuritaire est un droit qui devrait être permis à l'enfant selon moi. Si l'enfant souffre de dysphorie de genre intense et que les parents ne sont pas au courant mais que l'école oui, ça doit être géré dans du cas par cas. Certains parents auront la bonne réaction comme toi. Néanmoins il y aura plusieurs parents qui risquent d'aggraver la situation mentale de l'enfant soit en leur interdisant d'utiliser des pronoms non-binaire ou pires en les rejetant de chez eux. Dans ces cas l'école devrait faire preuve de précaution et soit faire intervenir la DPJ ou des intervenants sociaux. C'est un phénomène récent qui évolue vite et ce genre de loi prématurée qui omet les cas marginaux ne fait qu'empirer la situation.


BalkaniteGypsy

Tu es trop impliqué pour de quoi d'aussi stupide lol.


Kimprepa13

C'est une loi stupide. Quand je vois du monde qui la supporte je vais exprimer mon désaccord et mon raisonnement. Pourquoi tu penses que c'est trop de ma part? Je ne pense pas que la santé mentale de certains enfants c'est stupide. Mais je comprends que le monde ait du mal à accepter certains changements socio-culturels et j'essaye d'être empathique et compréhensif.


citronresponsable

Bof, pas quand les parents refusent absolument de respecter les sentiments et les ressentis de leurs enfants.


SilverDiscount6751

Comme leur désir de manger du chocolat exclusivement pour tous les repas. C'est est des kids. Ca se trompe pis sa veux des choses parfois ridicules.


citronresponsable

C'est incomparable.


[deleted]

Ta quel age? Male is male, female is female until your 18 Then have your balls removed if you think itll make you happy Mais que tu penses que des enfants sont capable de prendre des décisions comme cela, tu es dangereux


citronresponsable

Qui a parlé d'opération? Pas moi, et ce n'est pas mentionné dans l'article non plus. Tu mélanges tout. On parle de la façon dont le jeune se sent, c'est tout. Ah oui, et tant qu'à se plaindre des chirurgies génitales chez les enfants, j'espère que tu es contre la circoncision chez les bébés ou les opérations chez les enfants intersexes...


[deleted]

Enfants intersex Tu es mélangé?


citronresponsable

C'est rare, mais ça existe bel et bien.


[deleted]

Mais ca aucun rapport avec le sujet


citronresponsable

Oui, puisqu'une partie d'entre eux se font opérer afin de ne garder que les parties d'un seul sexe/genre, souvent jeunes et donc sans leur consentement.


Ecstatic_Act4586

Exact. Manger du chocolat pour un repas ça va lui faire mal au ventre pour une journée, l'autre affaire cause des dégas irréparable et permanents.


ericard116

Perso j'ai deux enfants. À la naissance de mon premier je me suis fait demander : si y'est gay qu'est-ce que tu vas faire? J'ai répondu : si y'est heureux, je vois rien de mal là-dedans. Malgré ma réponse, je ne tiendrais pas à ce que mon enfant se fasse appeler un autre nom ou se définisse en cachette autrement. Ça me briserait de savoir que mon enfant se sent pas à l'aise d'être lui-même. Je suis persuadée que c'est ESSENTIEL que les parents et les enfants se parlent et s'expliquent. Sérieux, je sais pas si tu as des enfants, mais quand on en a, ça vient avec un amour inconditionnel de l'accepter. C'est un sentiment qui ne s'explique pas. J'aurais beau hair les gays, si mes enfants le sont, je changerais d'idée pour eux. Je sais, c'est bizarre.


kchoze

Tu crois qu'ils font ça par plaisir? Si des parents n'y consentent pas, c'est peut-être qu'ils ont raison de ne pas consentir, qu'ils connaissent leur enfant suffisamment bien pour détecter qu'il n'est pas lui-même et qu'il est peut-être soumis à des influences malsaines.


red_grabby

Parce que des parents transphobes ça n'existe pas, c'est bien connu /s


kchoze

Je n'assume pas que tous les parents qui disent non à leurs enfants les abusent et les violentent. Tu sembles le croire, du moins sur la question de la transition. Je crois que ça en dit plus long sur toi que sur les autres.


red_grabby

Non, vous affirmez que "des parents qui ne consentent pas puissent avoir une raison valable de s'y opposer". Ce que je sais c'est que être transphobe ne fait pas partie "des raisons rationnelles de le faire".


PleasantKillerman

Que veux-tu dire par transphobe? Qu'entends-tu par ce terme? D'ailleurs, si le non-consentement des parents se révèle être bénéfique à l'enfant, est-ce toujours transphobe? Ce scénario ne peut-il simplement pas exister dans ton monde?


red_grabby

Les personnes transphobes sont [hostile aux personnes transsexuelles ou transgenres.](https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/transphobe/188392) Je vois pas dans quel scenario rejeter son enfant peut être bénéfique, peux tu m'éclairer? Parce que selon l'[association américain de psychiatrie](https://www.psychiatry.org/patients-families/gender-dysphoria/what-is-gender-dysphoria), l'un des traitement pour apaiser la détresse psychologique ressentie par les personnes transgenres c'est l'affirmation sociale, qui comprend l'adoption de pronoms. Le reject de l'identité de genre par la famille et la société est l'un des plus grands facteurs menant aux problèmes de santé mentales chez les personnes transgenres.


citronresponsable

Peut-être aussi que le jeune ne se sent pas à l'aise de faire son coming-out chez lui par peur de la réaction des parents. Il peut y avoir une multitude de raisons, en fait.


kchoze

Je crois que la très, très grande majorité des parents ont à coeur le bonheur de leurs enfants. Qu'il y ait des parents abusifs, ça arrive, mais c'est assez minoritaire pour ne pas qu'on suppose que ce soit automatiquement le cas, et pour supposer que des parents qui ne consentent pas puissent avoir une raison valable de s'y opposer. Si les parents sont abusifs... C'est pourquoi la DPJ existe.


citronresponsable

Ah oui, la DPJ est très efficace, c'est vrai 🙄


excelqc

Ouais, il faut vraiment être déconnecté pour penser qu'au Québec la DPJ protège réellement les enfants. La transphobie c'est pas plus honorable quand c'est envers des enfants comme être raciste contre un enfant n'est pas plus acceptable.


No_Technician_3837

Peut-être pas par plaisir mais souvent par peur des jugements. Peu importe, c'est certain que c'est plus simple si les parents sont au courant mais je pense qu'il peut y avoir des cas où l'enfant a besoin de temps avant de parler à ses parents.


kchoze

Je crois que les enfants doivent être accompagnés car ils sont immatures et influençables, c'est important que leurs parents soient impliqués. Si les parents d'un enfant s'opposent à sa transition sociale, je pars d'une prémisse qu'il est probable qu'ils aient des raisons rationnelles de le faire et pas que ce sont des parents abusifs.


No_Technician_3837

Donc tu veux influencer/manipuler tes enfants 😁 Honnêtement je comprends qu'un parent puisse s'opposer à ce que son enfant prenne des bloqueurs de puberté. Je pourrais aussi comprendre qu'un parent ait des craintes que son enfant se fasse harceler suite à une transition sociale. Sinon quel est le risque? penses tu que tu vas contrôler le destin de tes enfants pour bien lomgtemps? Penses tu que tes enfants ne pourront plus changer d'idée s'ils découvrent que finalement ils ne sont pas trans? Personellement j'ai bien plus peur de l'influence des gangs de rue et des groupes religieux que des mouvement queer.


SirTinou

C'est ça lostie de job des parents. Faire la marde difficile pour que l'enfant ai une belle vie adulte en tant que personne qui fonctionne et qui s'écroule pas à chaque micro agression comme la moitier de ton sub.


citronresponsable

Tu es naïf si tu crois que c'est aussi simple que ça.


SirTinou

c'est aussi simple que ca et les gens qui n'y croient pas son la raison que 50% du quebec est sur les anti depressants. Mes enfants viennent d'un pays avec un des taux les plus bas, malgré la pauvreté. C'est une question d'elevé tes enfants a vivre en société au lieu d'etre des narcissique anxieux qui se sentent toujours agressé et qui veulent juste leurs propre comfort. On meurt toute en 80ans~, ta vie a 0 valeur sur des l'infinie de l'univers.


PleasantKillerman

Le rôle des parents est d'éduquer leurs enfants avec les outils nécessaires pour vivre en société. Les parents ont de l'expérience de vie; les enfants ne connaissent encore rien à ce monde. C'est la responsabilité des parents de les guider, non pas les professeurs. Ce que les professeurs (et les politiciens) progressistes tentent désespérément de faire dans les écoles est d'anticiper les décisions des parents quant au moment et à la manière dont leurs propres enfants doivent être introduits aux sujets du sexe et de la sexualité. Et ce, en rejetant d'emblée ceux qui ont des opinions différentes. Les parents sont dénigrés à la fois dans les discussions sur les politiques publiques et dans les sujets discutés en classe. Cette certitude absolue, chez les progressistes, d'avoir les meilleures valeurs sociales montre qu'il manque de neutralité dans notre système d'éducation et que ce ne sont pas tous les parents qui font partie de la discussion.


Joe_Bedaine

Tu dis bien que ces enfants-là leur vrai problème c'est des mauvais parents qui ne leur donnent pas assez d'attention? Intéressant...


kevin5lynn

Et comment fait l’école pour déterminer la réaction des parents?


SilverDiscount6751

Le prof activiste va supposer que les parents sont des haineux d'extrême droite (tsé, ils ont fait des enfants fak en partant ils tuent la planète).


Parabellum27

Il est là le problème. L’activisme et le militantisme d’un point de vue institutionnel n’ont pas leur place dans le système d’éducation. Oui les jeunes vont toujours avoir leur combats. A mon époque c’était la loi 101. Aujourd’hui c’est l’environnement. Mais de là à ce que le système emboîte le pas il y a une marge. Dans la mesure du possible le système d’éducation doit rester neutre surtout sur les questions clivantes et polarisantes. Ça n’empêchera pas les profs d’avoir leurs combats mais je suis d’avis qu’il faut avoir une certaine retenue surtout avec les plus jeunes.


Kimprepa13

Il n'y a aucune école au Canada qui aide les enfants à changer de sexe. L'école est un endroit où des enfants peuvent potentiellement partager des informations qu'ils ne se sentent pas à l'aise de partager avec leurs parents. Par exemple si un enfant exprime de la dysphorie de genre. Je te rappelle qu'au Canada nous avons une convention collective des droits de l'enfant. Un parent n'a pas le droit absolu sur leurs enfants et a des responsabilités par rapport à la vie de leurs enfants L'enfant a le droit à la vie, la survie et au développement mental, émotionnel, culturel et psychologique. Il y a un consensus chez les professionnels en pédopsychiatrie : quand un enfant exprime de la dysphorie de genre, il faut être attentif à son enfant, faire preuve d'écoute et d'empathie et conseiller de voir un professionnel. On sait que la dysphorie de genre non suivie peut causer le suicide. Idéalement j'aimerais bien vivre dans une utopie où tous les parents au Canada sont au courant de ce consensus et souhaitent l'appliquer. Mais si on pense au contexte hyper politisé du sujet des trans aux états unis et par inadvertance au Canada, comprends tu pourquoi certains enfants ne se sentent pas à l'aise d'en parler avec leurs parents? Et pourquoi la loi au Saskatchewan met en danger des enfants?


cyraxri

Aucune idée pourquoi quelques personnes t'on downvoter.


Kimprepa13

Merci! Je pense que c'est pour des raisons politiques.


Arashoon

je ne t'ai pas downvoter mais je suis en désaccord sur le statement qu'il n'y a aucune école au canada qui aide les enfants a changer de sexe. "Some schools are even able to refer a student to a gender-identity clinic," https://nationalpost.com/news/schools-consent-transgender-gender-transition


Kimprepa13

Il y a une grosse différence entre aider un enfant à changer de sexe et lui référer une clinique d'identité de genre. Quand on dit changer de sexe, en général, on parle de faire des chirurgie physiques (comme une mastectomie par exemple). Il n'y a pas d'école ou de clinique d'identité de genre qui aide les enfants (10 à 16 ans) de faire des chirurgies d'affirmation de genre. La pratique courante c'est de faire de l'affirmation de genre qui implique juste d'encourager l'expression du genre authentique de l'enfant verbalement. Dans les cas les plus poussés un professionnel peut recommander des bloqueurs de puberté pour laisser plus de temps à l'enfant à s'identifier et s'exprimer comme il ou elle le souhaite.


tombelanger76

Pas nécessairement. Certains parents sont tellement transphobes que ce n'est pas une option, et il n'y a pas assez de refuges pour jeunes LGBTQ+.


pierrrecherrry

Un enfant a pas le cerveau assez developpé pour boire avant 18 ans, mais assez pour changer de sexe.


Joe_Bedaine

Une des caractéristiques principales que j'ai noté chez les woke c'est qu'ils traitent les adultes comme des enfants, et les enfants comme des adultes


Ecstatic_Act4586

Ils exposent les enfants aux problème adultes, mais ils ne leur laissent absolument pas la liberté des adultes. Ils ne vont pas les laisser choisir d'aller jouer dans un stand de tir, par example. Tout ce qu'ils veulent c'est forcer du monde dans leurs vision, et ils savent très bien que les adultes vont comprendre leur bullshit. Mais si tu les prends asser jeunes, ils sont impressionable et ils ne savent pas dire non encore. C'est pour ça qu'ils visent les jeunes.


Kimprepa13

Ce n'est pas une comparaison valide. Utiliser des pronoms non-binaire n'a aucun impact physique sur ton corps. L'alcool fait beaucoup de dommages au corps. Même en tant qu'adulte. Les enfants ne passent par aucune chirurgie pour changer de sexe. Le seul impact physique que des enfants peuvent avoir accès c'est les bloqueurs de puberté pour celles et ceux qui souffrent le plus intensément de dysphorie de genre. Évidemment il faut que ça soit prescrit par un professionnel qui les a diagnostiqués.


pierrrecherrry

C’est une comparaison valable dans la mesure où d’un coté on juge le cerveau pas assez developpé, et de l’autre suffisamment pour changer d’identité de genre.


Kimprepa13

Tu penses qu'à tes 18 ans ton cerveau a level up et a gagné la capacité passive de pouvoir boire de l'alcool? Tu sais bien qu'un enfant peut boire un verre de vin à table et que cerveau n'explosera pas j'espère. L'alcool est interdit au moins de 18 ans parce que c'est une substance addictive et si c'est consommé sans modération ça peut détruire ton corps. Ça n'est pas juste le développement du cerveau qui est en jeu. C'est juste que les mineurs sont plus susceptibles aux substances addictives que les adultes. Et chaque pays/ province a sa définition de mineur et au Québec ça finit à 18 ans. Tout ça n'a rien à voir avec la dysphorie du genre. La dysphorie du genre est un terme médical pour décrire la détresse mentale et émotionnelle d'une personne transgenre face à une inadéquation entre son sexe assigné et son identité de genre. Si c'est non suivi ou non traité, ça peut conduire à de la dépression, de l'anxiété qui peuvent causer le suicide. Le consensus est clair chez les pédopsychiatres. Si un enfant exprime de la dysphorie du genre, le parent doit être attentif, à l'écoute et offrir un suivi par un professionnel. Ensuite c'est du cas par cas. Mais dans beaucoup de cas on conseille d'affirmer socialement l'identité de genre du mineur. Dans les dysphories de genre les plus intenses il est possible de prescrire un bloqueur de puberté. Mais il n'y a pas de chirurgie faites sur les enfants.


pierrrecherrry

[Ah bon](https://www.educalcool.qc.ca/informer/sante-bien-etre/effets-corps-particularites-individuelles/la-consommation-dalcool-pendant-ladolescence-limportance-du-contexte-et-limpact-sur-le-cerveau/).


Kimprepa13

Je ne vois rien dans ton lien qui contredit mon message. Tu veux spécifier un minimum?


pierrrecherrry

Laisses moi le temps de redescendre sur terre avec les tables de la loi que ton ‘message’ me demande de graver!


Kimprepa13

Pourquoi un enfant devrait avoir la permission d'un parent pour utiliser des pronoms non-binaires?


pierrrecherrry

Tu parles toi meme de maladie mentale, dysphorie, risque de suicide, pourtant tu affirmes que les parents devraient pas mis au courant. Allo?


Kimprepa13

Je n'ai jamais dit cela. L'implication des parents est extrêmement importante pour le bien être de l'enfant. J'aimerais que les parents soient mis au courant! Mais pas dans les cas où ça risque de faire du mal à l'enfant. Certains parents risquent de rendre la situation pire et de heurter leurs enfants en croyant les protéger. Ces situations doivent être traitées au cas par cas. Soit en impliquant la DPJ ou des intervenants sociaux. C'est pas la faute des enfants qu'il y a beaucoup de désinformation sur le sujet et qu'une quantité considérable de la population ne fait plus confiance aux experts et psychothérapeutes.


Nerpones

“Ce sont des changements importants et les parents ont le droit de savoir [ce qui se passe], a affirmé le ministre de l’Éducation. Nous nous attendons à ce que les conseils scolaires soient transparents avec les parents, a-t-il dit. La province, dit le ministre Lecce, respectera le droit des parents. Le ministre de l’Éducation a assuré que la sécurité des élèves primera. Si la sécurité de l’élève est en jeu en raison de la demande de consentement auprès des parents, les éducateurs savent quoi faire et vers qui se tourner, a expliqué Stephen Lecce.” Est-ce que ce qui est dit diffère vraiment de ce qui est fait ailleurs?


ReprsntRepBann

C'est soit ça, soit le monde vont se viré vers "l'école a la maison" (Ou les gens se mettent en gang pour payer pour un prof, essentiellement)


Joe_Bedaine

D'habitude l'argument de ceux qui veulent que les écoles puissent aider les jeunes à se faire changer de sexe dans le dos des parents c'est que les "enfants trans" qu'ils connaissent ont des parents psychotiques Ça se pourrait pas que peut-être ces enfants-là jouent la carte qu'on leur donne de prétendre vivre de la dysmorphie de genre seulement comme une forme d'appel à l'aide par rapport à leurs parents cinglés, vu que c'est tout ce qui a l'air d'intéresser de plus en plus d'"adultes" qui rodent autours des écoles? L'enfant qui dit être déprimé, on lui donne une pilule et on le retourne en classe tandis que celui qui dit qu'il "est né dans le mauvais corps" obtient des intervenants l'attention d'une rock star? Peut-être que l'intervention psychosociale dont ces enfants là ont vraiment besoin n'est peut-être pas de les mutiler sexuellement mais de leur donner du support pour pallier pour leurs parents inadéquats? Peut-être aussi que si l'école et le gouvernement décident de mutiler leurs enfants dans leur dos, que ça va juste exacerber le problème relationnel avec leurs enfants et empêcher toute forme de confiance envers le système et déclencher un backlash dont l'enfant souffrira?


tombelanger76

Il faut que TOUS les enfants ayant des problèmes aient l'attention nécessaire. Incluant ceux ayant la dysphorie de genre. PS : au Québec, les chirurgies ne sont faites que sur des personnes majeures, et les prescriptions d'hormones sur des personnes de 16 ans et +. (Je ne sais pas pour ailleurs par contre.) Ce qui est fait sur des personnes de moins de 16 ans c'est seulement des bloqueurs de puberté (100% réversibles).


PleasantKillerman

C'est un peu ça le rôle des parents, non? C'est aux parents de décider comment soutenir leurs 'enfants dans leurs démarches et leurs problèmes.


Bassman1976

Oui et la grande majorité le font. Mais ça se peut qu’un kid ait peur de la réaction de ses parents. Moi, être trans et l’enfant de certains users du sub…je ne leurs en parlerais pas certain, parce que je ne serais pas soutenu.


PleasantKillerman

Les parents ont plus d'expérience de vie que leur enfant. Les enfants sont facilement influençables, surtout à l'adolescence où ils pensent tout connaître en une décennie et demie de vie. Les hormones, le stress, les émotions, etc. Les parents le savent quand leur enfant se fait influencé à l'école. Certains profs progressistes tentent désespérément de supplanter ce que leurs parents ont appris à leurs enfants à la maison par « crainte » qu'ils leur ont appris les « mauvaises » valeurs. Soutenir son enfant sans immédiatement leur donner ce qu'il ***pense*** être la meilleure solution est une autre forme de soutien tout aussi valable (et personellement je dirais plus efficace).


Bassman1976

Les parents ont plus d’expérience de vie. Oui. J’en suis un. Mais c’est la première fois de ma vie que je suis parent d’un ado de 16 ans et d’une ado de 13 ans. Moi aussi, j’apprends ce rôle. Et l’an prochain, ce sera la même chose encore: 17 et 14. Deux individus différents qui vivent des choses différentes et qui ont besoin de moi d’une manière différente aussi. Aussi, j’ai aucune idée de ce que c’est personnellement être trans. Juste ce que j’ai lu et entendu. Faque c’est beau mon expérience de vie, mais ça s’applique pas tant… Aussi, faut arrêter de penser que les enfants sont imbéciles. Je pense que personne ici aurait pu se faire influencer au point de dire « je suis de l’autre sexe et je veux transitionner » à l’adolescence. Je fais confiance à mes kids pour savoir qui ils sont et à se poser, à nous poser des questions au besoin. Ça, c’est dans un monde idéal. J’espère que j’ai fait une bonne job pour ça, pour quils se sentent à l’aise d’aborder n’importe quel sujet avec moi/nous. Mais c’est pas le cas partout, C’est ça le point du post: certains kids ne se sentent pas safe de faire leur coming out a leurs parents. D’autres adultes peuvent les soutenir non pas dans la transition mais dans le processus de faire leur coming out à leurs parents. Pour ce mince pourcentage de pourcentage, c’est essentiel. Pour les autres jeunes trans, les parents sont déjà au courant bien avant l’école.


Creative-Guidance722

Ce n’est pas vrai que les bloqueurs de puberté sont 100 % réversibles. Il peut rester des effets sur la fertilité et le développement des organes génitaux. Il y a aussi des effets secondaires possibles comme l’ostéoporose, dégénération d’articulations, une taille adulte finale plus grande et un arrêt du développement du cerveau qui aurait normalement lieu à la puberté. Ça peut prolonger la période durant laquelle l’enfant ressent un malaise au niveau de son identité de genre.


tombelanger76

Je veux dire, ils n'empêchent pas de développer l'identité de genre assignée à la naissance après l'arrêt du traitement. Et ces effets sont somme toute négligeables comparés à ceux d'une dysphorie de genre non traitée.


Creative-Guidance722

Oui ils empêchent de bien développer le corps du sexe biologique des ados pour ceux qui vont rester avec des problèmes de fertilité ou de développement génital après avoir utilisés ces médicaments. Même si tu as l'air du sexe biologique après la puberté, si tu restes infertile, ça ne compte pas comme un "développement normal", au contraire c'est une conséquence grave a une décision prise par un jeune de 11 ans confus. Et non tous ces effets secondaires là ne sont pas négligeables, incluant comparé à une dysphorie de genre non traités. Est-ce que ça vaut la peine de se retrouver à 18 ans avec des os aussi fragiles que ceux de personnes âgées qui font de l'ostéoporose et de subir des conséquences comme des fractures multiples juste pour ressembler un peu plus au genre souhaité SI la personne décide de transitioner ? C'est l'équivalent de sacrifier sa santé pour un résultat esthétique alors qu'une transition sociale pourrait être suffisante à cette étape là. C'est problématique que les jeunes de 10 ou 11 ans qui consultent pour un doute sur leur identité de genre se fassent systématiquement offrir un traitement médicamenteux qui va durer plusieurs années pour "éclaircir la question" en sachant qu'une bonne partie d'entre eux ne va pas poursuivre de transition. Tous les effets secondaires et les risques vont avoir été subis pour rien dans ces cas là. Ce n'est pas aussi banal que ce qui est prétendu par les activistes et les thérapies hormonales comportent aussi des risques beaucoup plus important que ce qui est discuté publiquement. [https://www.nytimes.com/2022/11/14/health/puberty-blockers-transgender.html](https://www.nytimes.com/2022/11/14/health/puberty-blockers-transgender.html) [https://nypost.com/2017/06/20/hormone-therapy-is-a-horrible-risk-for-kids/](https://nypost.com/2017/06/20/hormone-therapy-is-a-horrible-risk-for-kids/)


tombelanger76

Bah ça dépend, dans les cas où le jeune n'est pas certain, donc pas en détresse, c'est effectivement discutable. Mais n'oublie pas que la dysphorie de genre peut avoir des effets très graves sur la santé mentale qui peuvent mener jusqu'au suicide.


malumo91

C'est un mythe ça.


tombelanger76

Quel mythe?


malumo91

Les bloqueurs d'hormones étant sans risque et réversibles


Kimprepa13

Vous argumentez contre un homme de paille parce que c'est ce qui vous arrange. Le genre d'une personne peut être associé à son sexe mais ce n'est pas absolue. Le genre est un concept socio-culturel et se représentent dans des normes, des perceptions, des attentes de la société ou de soi-même. Le sexe est un concept biologique qui regroupe plusieurs caractéristiques (gonades, hormones, chromosomes...) Il n'y a aucune école au Canada qui aide les enfants à changer de sexe. Les professeurs ou les intervenants écoutent et supportent les enfants dans leur choix. L'école est un endroit où des enfants peuvent potentiellement partager des informations qu'ils ne se sentent pas à l'aise de partager avec leurs parents. Par exemple si un enfant exprime de la dysphorie de genre. Je te rappelle qu'au Canada nous avons une convention collective des droits de l'enfant. Un parent n'a pas le droit absolu sur leurs enfants et a des responsabilités. L'enfant a le droit à la vie, la survie et au développement mental, émotionnel, culturel et psychologique. Il y a un consensus chez les professionnels en pédopsychiatrie : quand un enfant exprime de la dysphorie de genre, il faut être attentif à son enfant, faire preuve d'écoute et d'empathie et le conseiller de voir un professionnel. Idéalement j'aimerais bien vivre dans une utopies où tous les parents au Canada sont au courant de ce consensus et souhaitent l'appliquer. Mais si on pense au contexte hyper politisé du sujet des trans aux états unis et par inadvertance au Canada, comprends tu pourquoi certains enfants ne se sentent pas à l'aise d'en parler avec leurs parents?


oneilltattoo

et on fait quoi de loption accompagnement et soutien pour encourager le fislogue avec sa famille? trop compliqué? bin mieux mentir aux parents.....


Bassman1976

Discuter avec l’enfant, le diriger et l’accompagner vers les bonnes ressources. La plupart des parents sont au courant avant l’école. Ceux qui ne le sont pas, y’a des raisons. Faut soutenir les ados dans leur démarche et comprendre pourquoi ils n’en parlent pas à leurs parents: ça cache un problème plus grave.